A noter un article très intéressant avec un visuel alléchant sur la compilation les "Nippons girls" concernant la pop, beat & bossa nova féminine des années 66 à 70 dans le blog "Mon amour pour le Japon".
Sans pour autant la connaître en profondeur, ce mini-blog est l'occasion de découvrir, faire découvrir et échanger à propos d'une autre musique, différente de la Jpop.
16 novembre 2011
3 novembre 2011
Des souvenirs, mais pas de la cantine...
N'avez vous parfois pas eu l'impression d'avoir voulu échapper toute votre vie à la cantine ? Le gros Georges qui tabasse et victimise, les frittes surgelées pas aussi bonnes que celles de maman (c'est normal, elle les prend chez mac cain - on n'a pas besoin de parler pour raconter sa journée, on en mange le plus). M'en fou, se disait-on, quand j'aurais un boulot, j'aurais des tickets restaurants et irais toujours au bistro.
Que nenni. La cantine nous cerne toujours, on appelle cela le resto d'entreprise... Et puis, est-ce si mal l'esprit "cantine", le petit bouiboui au bon rapport qualité prix ?
Shinyashokudo est la série TV qu'il faut regarder en ce moment : déjà en deuxième saison, cette fiction chorale raconte les destins qui s'entrecroisent de clients d'une "cantine de nuit" à Tokyo pour les nippons au rythme de vie souvent noctambule.
Mais pourquoi parler de cela ? Pour l'illustration sonore d'ouverture, une ballade folk assez douce à la guitare, magnifique contrepoint au paysage urbain :
Il s'agit d'une version courte de la chanson 思ひで omoide (souvenirs) de 鈴木常吉 Suzuki... tokichi je crois - n'hésitez pas à me détromper, je n'arrive pas à trouver son prénom :
Que nenni. La cantine nous cerne toujours, on appelle cela le resto d'entreprise... Et puis, est-ce si mal l'esprit "cantine", le petit bouiboui au bon rapport qualité prix ?
Shinyashokudo est la série TV qu'il faut regarder en ce moment : déjà en deuxième saison, cette fiction chorale raconte les destins qui s'entrecroisent de clients d'une "cantine de nuit" à Tokyo pour les nippons au rythme de vie souvent noctambule.
Mais pourquoi parler de cela ? Pour l'illustration sonore d'ouverture, une ballade folk assez douce à la guitare, magnifique contrepoint au paysage urbain :
Il s'agit d'une version courte de la chanson 思ひで omoide (souvenirs) de 鈴木常吉 Suzuki... tokichi je crois - n'hésitez pas à me détromper, je n'arrive pas à trouver son prénom :
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