3 novembre 2011

Des souvenirs, mais pas de la cantine...

N'avez vous parfois pas eu l'impression d'avoir voulu échapper toute votre vie à la cantine ? Le gros Georges qui tabasse et victimise, les frittes surgelées pas aussi bonnes que celles de maman (c'est normal, elle les prend chez mac cain - on n'a pas besoin de parler pour raconter sa journée, on en mange le plus). M'en fou, se disait-on,  quand j'aurais un boulot, j'aurais des tickets restaurants et irais toujours au bistro.

Que nenni. La cantine nous cerne toujours, on appelle cela le resto d'entreprise... Et puis, est-ce si mal l'esprit "cantine", le petit bouiboui au bon rapport qualité prix ?

Shinyashokudo est la série TV qu'il faut regarder en ce moment : déjà en deuxième saison, cette fiction chorale raconte les destins qui s'entrecroisent de clients d'une "cantine de nuit" à Tokyo pour les nippons au rythme de vie souvent noctambule.

Mais pourquoi parler de cela ? Pour l'illustration sonore d'ouverture, une  ballade folk assez douce à la guitare, magnifique contrepoint au paysage urbain :



Il s'agit d'une version courte de la chanson 思ひで omoide (souvenirs) de 鈴木常吉 Suzuki... tokichi je crois - n'hésitez pas à me détromper, je n'arrive pas à trouver son prénom :

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