8 juin 2012

L'émotion était trop forte pour ne pas en parler

Bon, si je continue à prendre les références de mes petites pépites en matière de MJNI (musique japonaise non identifiée, au moins en France), la motivation est bien moins forte pour aller en laisser des traces ici dans une explosion de joie soudaine et libératoire que l'on essaierait de faire partager aux visages de nos partenaires. *

Mais comme la vie n'est qu'une série de flash sans conséquences, voici deux références pour marquer l'éternel retour de ce blog (il ne faudrait pas non plus décevoir les quelques abonnés de ce blog à google reader, que je salue d'ailleurs).

Ici, une version que j'aime beaucoup de  Ain't No Sunshine** par Junko Ohashi, qui respire un peu l'urgence (1976) :



Et puis là,  Yume ha yoru hiraku (夢は夜ひらく) *** une "cover" d'une ancienne chanson japonaise remise au goût du jour par Hideaki Tokunaga (徳永英明). Elle me fait un peut penser à la Cover de Roxane par George Mickaël.

 

* Pardon, je suis encore sous le choc de la résurrection de Senbei, le blog du biscuit japonais qui se trempe dans la sauce soja ou pas...
** tube de Bill Withers (soul/RB) en 1971
*** chantée auparavant par Keiko Fuji/Utada Junko (la mère de Utada hikaru), semble-t-il.

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