Yumi Matsutôya (松任谷由実, Matsutōya Yumi), ex- Yumi Arai (荒井由実, Arai Yumi) , également surnommée Yuming (ユーミン), née le 19 janvier 1954, est une auteure-compositrice-interprète à succès dont la carrière commença dans les années 1970.
Elle est connue en Occident parmi les fans d'animation grâce à l'utilisation de deux de ses chansons pour les génériques de kiki la petite sorcière, de Hayao Miyazaki (rouge no dengon & Yasashisa ni Tsutsumaretanara).
Allez, voici:
ルージュの伝言 (rouge no dengo - message au rouge à lèvres 1975 -vidéo post.) :
MAJ Youtube 10/2011; 23/01/2013
Un petit air de ?
A noter que la chanson fut reprise par Carole Serrat, une ex-chanteuse française au Japon, ex-speakerine de TF1, maintenant sophrologue... Mais impossible de mettre la main sur une version dans youT. Bye jove!
[MAJ/update 10/2011= une version trouvée (pour combien de temps encore) : ICI]
やさしさに包まれたなら (Yasashi sa ni tsutsumareta nara - traduit par certains de "te nderness 1974) :
mise à jours vidéos 12/2010; 01/2012; 23/01/2013
Elle est connue en Occident parmi les fans d'animation grâce à l'utilisation de deux de ses chansons pour les génériques de kiki la petite sorcière, de Hayao Miyazaki (rouge no dengon & Yasashisa ni Tsutsumaretanara).
Allez, voici:
ルージュの伝言 (rouge no dengo - message au rouge à lèvres 1975 -vidéo post.) :
MAJ Youtube 10/2011; 23/01/2013
Un petit air de ?
A noter que la chanson fut reprise par Carole Serrat, une ex-chanteuse française au Japon, ex-speakerine de TF1, maintenant sophrologue... Mais impossible de mettre la main sur une version dans youT. Bye jove!
[MAJ/update 10/2011= une version trouvée (pour combien de temps encore) : ICI]
やさしさに包まれたなら (Yasashi sa ni tsutsumareta nara - traduit par certains de "te nderness 1974) :
mise à jours vidéos 12/2010; 01/2012; 23/01/2013
Et 'Hikôki Kumo' alors? Produit par Hosono avec l'aide de la bande du Tin Pan Alley, ce titre est un in.con.tour.na.ble dans la discographie de Yuming (qui ne s'appelait pas encore comme ça d'ailleurs mais là tout de suite j'ai la flemme d'aller chercher l'info sur Wikipédia).
RépondreSupprimerMeganekun, pinailleur.
Bon, j'avais pas vu que tu avais précisé les différents patronymes dont s'était affublée la belle Yuming.
RépondreSupprimerDe la musique vintage : plus fort que wikipédia!
Meganekun, il lit en diagonale des fois.
Bon, je pompe quand même pas mal sur wikipédia : j'entends quelque chose qui me plait hors JPOP JROCK (actuel) et je regarde diverses sources, ce qui constitue le principe du blog : pas d'exhaustivité, juste un flash sur un morceau, histoire d'apporter un éventail assez large.
RépondreSupprimerLe vrai soucis est la manie de Youtube de faire disparaître les vidéos des utilisateurs. Il faudrait que je réactualise régulièrement les liens.
Je note pour Hikôki kumo. La chanson est dans ma liste de choses à traiter.
Yumi Matsutoya, c'est vraiment une très très grande dame de la scène musicale japonaise.
RépondreSupprimerAvec sa voix particulière et son sens des mélodies imparables, il est tout naturel qu’elle soit devenue la 1ère (et indétrônable) reine de la pop japonaise. Chez ma maison, c’est devenue une référence incontournable et une part non négligeable de ma discothèque.
Personnellement, après les chansons utilisées pour l'anime Kiki, je l'ai plus particulièrement découvert par l'intermédiaire de l'album tribute "Queen's Fellows" sorti en 2002 pour ses 30 ans de carrière, poussé à la curiosité par la réinterprétation de son tube "Valentine's Radio" par Faye Wong.
A noter que cette fameuse Faye Wong (ma chanteuse chinoise préférée) est aussi une grande admiratrice de Teresa Teng, chanteuse pop taïwanaise aillant fait une partie de sa carrière en japonais dans le genre enka (ah… « Toki no Nagare ni Mi o Makase »…). Comme quoi dans le vintage musical japonais on se retrouve toujours en bonne compagnie.
Aller, encore 2 petits incontournables de milieu de carrière de cette grande dame, contenus dans l’album « The Dancing Sun » de 1994 : « Hello, my friends » et « Haru-yo, Koi ».
Et en effet, « Hikouki Kumo » est un incontournable de ses débuts. Et parmi ses nombreuses reprises (jusqu’à celle Susan Boyle !), celle de Akko / My Little Lover est un double bonheur.
Et en passant, merci pour ce blog inattendu. Tombé dessus en cherchant des infos sur Kayamatsu Hiroshi, un « monsieur » qui fut en 1972 le producteur d’une nouvelle artiste nommée à l’époque, j’vous l’donne en mille… Yumi Arai. Quand j’disais qu’on était en bonne compagnie !
Bonjour,
RépondreSupprimerMerci pour ces informations et votre appréciation à propos de ce petit site.